
Temps de lecture estimé : 1 min 30 + texte de Benoît XVI : 11 min 30
Un nouveau scandale de pédophilie au sein de l’Église catholique vient d’être révélé au public, à la demande de l’Église. 547 anciens élèves d’une école catholique prestigieuse de Ratisbone (Allemagne) qui était aussi un chœur d’enfants, ont raconté avoir subi des violences physiques, corporelles et psychologiques, parmi lesquels 67 auraient aussi subi des abus sexuels, entre 1945 et 1992. Les premières dénonciations n’ont eu lieu qu’en 2010, plusieurs décennies après les faits. Pour connaître plus de détails sur cette terrible affaire, je vous renvoie aux déclarations du père Zollner, président du Centre pour la protection des mineurs de l’Université pontificale grégorienne de Rome, le père Hans Zollner, théologien et psychologue jésuite, et lui-même originaire de Ratisbonne : Le père Zollner réagit à l’affaire des abus dans le chœur de Ratisbonne.
Les questions d’abus sexuels envers des enfants au sein de l’Église ont toujours tenu à cœur au pape Benoît XVI. Quand il était encore préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, il avait déjà pris des mesures pour lutter contre ces crimes et les punir. En tant que pape, il avait aussi pris de nouvelles mesures législatives, et avais eu le courage de rencontrer les victimes de pédophilie dans plusieurs pays.
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Sur le chapitre VI de l’encyclique Redemptoris Missio – Première partie : § 61 à 70
L’Église est missionnaire par nature et toute l’Église est envoyée auprès de ceux qui ne connaissent pas Jésus. Les missionnaires sont des « envoyés spéciaux », mais nous sommes tous associés à la mission. C’est à tous que Jésus a dit : « Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. » (Mt 28, 19), cet appel du Christ est fondamental dans notre identité de chrétiens.
Les jeunes Églises doivent donc elles aussi envoyer des missionnaires, même si elles souffrent d’une pénurie de prêtres.
La communion entre l’Église universelle et les Églises particulières implique cette collaboration.
« Les “jeunes Églises” ont besoin de la force des Églises anciennes, et en même temps celles-ci ont besoin du témoignage et de l’impulsion des jeunes Églises, de sorte que chacune de ces Églises puise dans les richesses des autres. »
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Le 19 septembre 2013, la Mairie de Paris a décidé d’honorer la mémoire de Mgr Jean-Marie Lustiger, archevêque de Paris pendant 24 ans, en donnant son nom au Petit Pont, le pont qui enjambe la Seine à la jonction de la Préfecture de police et du parvis de Notre-Dame – place Jean-Paul II.
Il n’est que justice d’honorer ainsi un évêque hors normes, que l’on peut faire figurer aux côtés d’autres évêques d’exception comme saint Charles Borromée (1538-1584), archevêque de Milan, le bienheureux Alain de Solminihac (1593-1659), évêque de Cahors, ou saint Eugène de Mazenod (1782-1851), archevêque de Marseille.
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En cette année anniversaire des 50 ans du début du Concile Vatican II, j’ai pris, cet été, le temps de relire tous les textes des Actes du Concile dans ma vieille édition du Cerf de 1966 où je les avait lus une première fois pour les vivre.
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