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L’Agence d’information des Missions Étrangères de Paris (MEP) informe que dix martyrs Français, tous tués par la guérilla communiste au cours de leur mission au Laos entre 1954 et 1969, ont été déclarés bienheureux le 11 décembre 2016, en même temps que six Laotiens et un Italien.
« Dimanche 11 décembre, 3e dimanche de l’Avent, il n’y a eu qu’une seule et unique messe célébrée dans tout le Laos. Les quatre évêques et les 21 prêtres que compte cette petite Église catholique étaient tous regroupés à Vientiane, où, dans l’église du Sacré-Cœur, l’unique lieu de culte catholique de la capitale, ils ont célébré, en présence de près de 6 000 fidèles et d’une dizaine de prélats étrangers, la béatification de 17 martyrs. »
Pourquoi risquer sa vie pour l’amour de Dieu aujourd’hui ?
Ces béatifications sont une occasion de méditation et de contemplation : pourquoi ces hommes ont-ils choisis d’aller annoncer Jésus au bout du monde, dans un petit pays inconnu, reculé et très pauvre, sachant sans le moindre doute qu’ils risquaient leur vie ? Quel genre d’amour pouvaient-ils avoir dans le cœur pour choisir une vie aussi aventureuse et périlleuse ?
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« S’il te plait maman, emmène-moi me confesser ! »
Avez vous déjà entendu cette phrase ? Probablement pas plus qu’on n’a déjà vu un jeune garçon blond demander au beau milieu du désert à un aviateur en rade de lui dessiner un mouton. Pourtant cela pourrait être le début d’une très belle histoire, un cadeau merveilleux à transmettre qui conduit à la rencontre de Jésus et nous transforme en petits ostensoirs, en porte-Christ envoyés dans le monde pour rayonner.
Mais là c’est juste le début de l’histoire et je vous invite à découvrir le site et/ou le livre et/ou la petite méthode de mon amie Ingrid d’Ussel, mère de famille engagée, soutenue par une équipe de prêtres catholiques, qui propose une approche renouvelée et affûtée de la confession fréquente à usage familial (posologie adaptée selon les tranches d’âges).
En 1980, l’Église de France est à bout de souffle. Après quinze ans de polémiques incessantes sur l’interprétation et l’application du Concile Vatican II, après une saignée inédite qui a vu un tiers des prêtres français quitter le ministère, Jean-Paul II, le pape polonais élu deux ans plus tôt vient pour la première fois en France. L’ambiance est morose, voire sinistre.
Personne ne s’attend à une homélie qui va marquer l’histoire, et dont les paroles résonnent encore à nos oreilles, nous français, 35 ans après avoir été prononcées.
L’enregistrement dure 34 minutes. Il manque quelques phrases initiales.
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