Site pour mieux connaître Dieu et l'Église catholique

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Quand tout coule de source

En ce 14 février, jour de la Saint Valentin, je viens de lui un article qui conseille pour les célibataires de prendre du temps pour soi.

Mais je prends ce temps pour vous partager un aspect de ma vie vu que je n’ai personne à qui le partager alors autant le faire à tout le monde.

A l’instar de Charlie dont vous pouvez lire l’article en suivant ce lien, j’ai la joie depuis l’automne dernier, d’être fluide dans mon élocution. Pourquoi fluide ? Parce qu’avant les mots s’accumulaient dans ma bouche mais sortaient difficilement, ce trouble de l’élocution s’appelle le bégaiement.

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D’Biwel uf Elsässisch (la Bible en alsacien)

“Am Anfàng isch ‘s Wort g’sinn, un ‘s Wort isch bi Gott g’sinn un Gott isch ‘s Wort g’sinn. Vun Anfàng àn isch’s bi Gott g’sinn”.

Traduction: “Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement auprès de Dieu.” (Jean 1,1-2)

Douze ans de travail et 35461 versets bibliques plus tard, nous l’avons notre Bible en alsacien… Une première en 2000 ans de christianisme. La prouesse nous vient d’un pasteur à la retraite, Daniel Steiner, qui officiait dans un village voisin et deux anciens professeurs universitaires, Raymond Matzen et Léon Daul. Ces deux derniers ne sont plus de ce monde pour admirer le fruit de ce travail titanesque.

Autour des Luxembourgeois de traduire les Ecritures dans leur langue nationale, uff Lëtzebuergesch…

http://www.lalsace.fr/actualite/2016/11/20/d-biwel-uf-elsassisch-enfin

Hopla, bis nächst Mol!

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Un 14 juillet 2016 dans le Semnoz…

Que s’est-il passé ce 14 juillet 2016 dans le massif du Semnoz, à proximité d’Annecy en Haute-Savoie? Étant en vacances à l’Abbaye de Tamié, près d’Albertville, j’en ai profité pour me rendre au Semnoz sur les lieux d’un accident de chasse qui a coûté la vie à un père de famille de 43 ans, Gaël Lavy, le 5 décembre 2015. Six mois après, le temps a effacé toutes les traces de cet accident. Il n’y a pas de monument commémoratif à cet endroit. Mais le fait de savoir qu’il y a eu mort d’homme à cause d’une méprise, c’est poignant.

Je suis titulaire du permis de chasser depuis novembre 2013 sans pour autant être un mordu de l’activité. J’ai passé l’examen pour accéder aux fonctions de garde particulier, chose devenue effective le 22 septembre 2015.

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Les Petits Ostensoirs, pour la promotion de la confession des enfants

Temps de lecture estimé : 2 min

« S’il te plait maman, emmène-moi me confesser ! »

Avez vous déjà entendu cette phrase ? Probablement pas plus qu’on n’a déjà vu un jeune garçon blond demander au beau milieu du désert à un aviateur en rade de lui dessiner un mouton. Pourtant cela pourrait être le début d’une très belle histoire, un cadeau merveilleux à transmettre qui conduit à la rencontre de Jésus et nous transforme en petits ostensoirs, en porte-Christ envoyés dans le monde pour rayonner.

Mais là c’est juste le début de l’histoire et je vous invite à découvrir le site et/ou le livre et/ou la petite méthode de mon amie Ingrid d’Ussel, mère de famille engagée, soutenue par une équipe de prêtres catholiques, qui propose une approche renouvelée et affûtée de la confession fréquente à usage familial (posologie adaptée selon les tranches d’âges).

Rendez-moi mes craies (poème)

Rendez-moi mes craies !

Rendez-moi mes ardoises grinçantes, mon tableau poussiéreux, les humeurs d’été, les coups salvateurs de règle, de l’hiver le sérieux, les génies du génitif, les multiplications à la chaîne, les uniformes qui ennoblissent les plus modestes et ceux aux postures vilaines !

Rendez-moi mes après-midi, ma salle de douze élèves, mes dictées obligatoires, les livres parfumés de sueur de pouce, les stylos-plume qui tachent, les buvards qui saignent de labeur et d’envie !

Lettre au soldat reconnu

Cher papa,

Ton fils que tu n’as jamais aimé t’écrit cette lettre que tu ne liras jamais. Vingt longues années ont enseveli sous mes pieds azéris mes jeunesses sans toi. À présent, ils sont enracinés jusqu’au tronc à une terre dont les sources m’abreuvent, dont je parle la langue et, à mon plus grand étonnement, je l’enseigne même. Pourquoi t’écrire maintenant dans une langue dont le sens te dépasse ? Pourquoi l’exposer ainsi, en piètre pâture à des inconnus qui n’en ont cure ? Sans doute pour avoir l’assurance qu’elle sera au moins lue une fois dans une vie. C’est si peu, une fois. C’est si peu, une vie. C’est comme le mur blanc que j’observe où se dessinent quelques rares mots d’une simplicité enfantine, le même mur de mes quatre ans que je barbouillais d’envie et de rêves, dans cet appartement immense, tu sais, au centre-ville de Bakou. Si peu de souvenirs, pour quelqu’un qui a vécu deux cents ans… Ton cabriolet rouge sang, notre pays où la pluie est bannie par les fronts brûlants de mille commerçants vociférant sous le balcon, nos tapis, nos encens, notre édition limitée des Mille et Une Nuits, mon jouet de super-héros inconnu made in russia aux allures propagandistes, aux membres disloqués, ton uniforme de gradé, maman qui sourit autant qu’elle pleure quand tu le revêts à nouveau.

L’homme et le fleuve d’amour

…. Dans l’amour, autrui reste toujours une personne à considérer comme telle. La force et la victoire de l’amour manifestent dans le respect d’autrui un respect permanent. L’amour ne désire pas l’autre pour lui-même mais veut se donner à l’autre, et partage ainsi sa vie avec lui. L’amour ne se caractérise pas par l’effacement ou la disparition d’autrui, mais par la présence, une présence qui n’est comprise que par la présence d’autrui. L’amour n’a pas de limites parce qu’il est un partage de tout, et comprend que l’autre soit complètement respecté. Dans l’échange de l’amour, les frontières disparaissent. L’amour ne connaît pas de frontières, et en même temps, il n’efface pas l’autre. Ces frontières se limitent par l’existence d’autrui, même si l’amour jaillissant est une union avec l’homme. Ceci est le mystère de l’amour jaillissant, il est une rencontre entre deux personnes. Cette rencontre est une réception et un don de soi, vécus dans un mouvement éternel, sans fin.

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De jeunes catholiques occidentaux à la rencontre des chrétiens d’Orient

Temps de lecture estimé : 4 min

“C’est à Antioche que, pour la première fois, les disciples reçurent le nom de chrétiens” (11, 26). Ce verset des Actes des Apôtres a inspiré le nom de notre jeune groupe Antiokia, une initiative que nous avons lancée il y a un an, pour favoriser la prière, la rencontre et le partage entre des jeunes chrétiens latins et orientaux.

À Antioche, Saint Pierre fonda la première église en 38, église dont sont issues la plupart des églises orientales aujourd’hui. Antiokia résonne comme un appel à retrouver nos racines au contact de nos frères chrétiens d’Orient. Ce nom en effet est pour nous fort de sens car il porte en lui cette idée d’unité, d’universalité, de « retour aux sources » et d’annonce de l’Évangile, qui forme la base même de notre initiative.

Tout d’abord, Antiokia est le fruit d’une rencontre en Orient : c’est en effet lors de volontariat et de mission humanitaire en Terre Sainte, en Jordanie et au Liban que nous avons été profondément marqués et saisis par la foi des chrétiens locaux et par leur manière de la vivre au quotidien, malgré les difficultés et les injustices.

Animés de la même passion pour cette région et d’un grand amour pour l’Église, nous sommes revenus en France avec un profond désir de partage et d’unité, pour mieux connaître, rencontrer et faire connaître les chrétiens d’Orient. Ainsi, en rencontrant les différentes communautés orientales de Paris-et d’Ile de France, nous redécouvrons les racines de notre foi commune. En effet, nous partageons la même foi, nous avons seulement différentes façons de la vivre, et c’est riche de nos différences que l’on va pouvoir grandir ensemble, unis au Christ.

Les enfants des rues de Manille invitent le Pape François

Le Saint Père multiplie les appels à se mettre à l’écoute des plus pauvres. Les enfants de la fondation ANAK-Tnk, qui ont connu les horreurs de la rue : mendicité, violence, drogue, prostitution… le prennent au mot.

Ils ont décidé de lui écrire pour qu’il leur rende visite et attendent avec une immense impatience et une grande espérance sa réponse ! ANAK-Tnk a réalisé une courte vidéo où les messages du Pape font écho aux blessures de ces enfants.

Logo de l'école primaire Saint-Roch

École primaire Saint-Roch : le retour aux bonnes vieilles méthodes !

Temps de lecture estimé : 1 min 30

En matière scolaire comme en cuisine, c’est souvent dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes.
C’est dans cet esprit que s’ouvre l’école primaire Saint-Roch à Bourg-la-Reine (92) en septembre.

L’école primaire Saint-Roch est une école indépendante (ou hors-contrat), c’est-à-dire qu’elle ne dépend pas de l’Éducation Nationale et qu’elle est libre de fixer son propre projet pédagogique.

L’école Saint-Roch a ainsi choisi de remettre au goût du jour les méthodes traditionnelles d’enseignement ; celles qui étaient utilisées autrefois par les maîtres d’école et qui ont permis à la génération des plus de 40 ans d’acquérir une parfaite maitrise de la langue française et du calcul.

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