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Communion eucharistique

Mais puisque je vous dis que les divorcés remariés ne sont pas excommuniés !

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Une fois de plus, un article de presse laisse entendre que l’Église catholique excommunie les divorcés remariés.

Dans cet article du Figaro : Le pape François allège la procédure de nullité des mariages catholiques, Jean-Marie Guénois explique avec clarté en quoi l’expression d’« annulation de mariage » est impropre. L’Église n’annule jamais un mariage valide. Elle n’en a pas le pouvoir, car Jésus a été on ne peut plus clair sur le sujet1. Ce que l’Église permet, c’est de constater la nullité d’un mariage n’ayant jamais été valide.

Mais plus loin dans l’article, l’auteur, qui connaît pourtant bien l’Église, écrit deux fois que le pape François cherche des solutions pour permettre aux divorcés remariés de revenir dans la communion de l’Église. Être exclu de la communion de l’Église, cela veut dire être excommunié. La rumeur de l’excommunication des divorcés remariés a la vie dure… Pourtant, rien n’est plus faux. L’Église catholique n’a jamais excommunié les divorcés remariés.

Mgr Fellay avec le pape Benoît XVI

Avortement, Fraternité Saint Pie X : la miséricorde n’exclut personne

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Une fois de plus, le pape François réussit à attirer l’attention de tous les media !

Mardi dernier 1er septembre, notre pape a publié une lettre annonçant l’indulgence accordée à tous ceux qui feront certaines démarches, à l’occasion de l’année de la miséricorde qui sera ouverte le 8 décembre prochain.

L’indulgence consiste en la délivrance des conséquences du péché. Le sacrement de la confession permet d’être libéré de la culpabilité, de recevoir le pardon de Dieu, mais nous restons enchaînés par les conséquences de nos actes.

Le portail roman à lobes du monastère de Ganagobie

Vie monastique, une inspiration pour nous laïcs ?

Temps de lecture estimé : 3 min 30

La communauté bénédictine Sainte Marie-Madeleine, installée au monastère de Ganagobie (Alpes de Haute Provence), fête ses 150 ans. Il y a environ quinze moines bénédictins présents dans ce monastère aujourd’hui.

J’ai eu la grâce d’y faire une retraite personnelle d’une semaine cet été, je partage quelques saveurs et inspirations reçues là-bas, et quelques réflexions générales sur la vie monastique.

Le site de Ganagobie est situé sur un plateau difficile d’accès, avec une superbe vue sur la vallée de la Durance et les sommets des Alpes. Le silence et la sérénité y sont impressionnants. Dès que l’on arrive là-haut, l’agitation du monde disparaît. On entre dans le dialogue avec Dieu seul. Enfin, je peux l’écouter, et il peut me parler sans interférence extérieure. Même si j’arrive plein de bruit intérieur, cela ne fait rien, Dieu me prend tel que je suis. Comme le dit saint Claude la Colombière, il ne se lasse jamais de m’écouter.

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Sister Joan Evans, une « Mère Teresa » venue d’Australie

Temps de lecture estimé : 3 min.

Lorsque je suis arrivée pour la première fois à Bangkok en 1995, cela faisait déjà quatre ans qu’elle vivait dans l’un des quartiers les plus pauvres de cette mégapole.
Pleine d’énergie pour aider et aimer les plus démunis, elle l’était quand elle a démarré sa mission à 58 ans, et elle l’était tout autant, à 82 ans, lorsque je l’ai revue au mois de juillet dernier et qu’elle m’a traînée au petit matin pour distribuer du lait à 160 mamans…

Sister Joan Evans est une religieuse australienne de la congrégation des Sœurs de la Présentation. Avant de prendre sa retraite, elle était enseignante en Australie. En 1991, à l’occasion d’un rassemblement de sa congrégation en Thaïlande, elle a découvert le quartier très pauvre de Khlong Toey et elle a été saisie par un appel à servir ces personnes dont beaucoup sont dans une grande détresse matérielle et morale.

Messe en rite oriental

Jésus Pain de vie, vraie nourriture pour notre faim immense de vie éternelle

Temps de lecture estimé : 2 min 30

Dans l’Évangile d’aujourd’hui (voir extraits en bas), chaque verset mériterait un commentaire développé, de multiples liaisons avec des textes de l’Ancien Testament. La manne est la préfiguration de l’Eucharistie de plusieurs manières. Elle est donnée à tous, elle vient du Ciel, et elle ne peut être gardée pour plusieurs jours.

La manne était la nourriture du corps. De manière merveilleuse, Jésus nous donne son propre Corps pour notre âme, pour nous unir à lui d’une manière ineffable, impossible à imaginer avec notre propre esprit. Rien de comparable dans aucune autre religion : Dieu se fait nourriture pour son peuple.

La manne était un grand miracle, il préparait nos esprits à recevoir un miracle sans commune mesure. Cette étreinte qu’est la consommation de son Corps dans l’Eucharistie, c’est Jésus qui la veut, c’est lui qui a l’initiative, comme toujours. C’est par la volonté du Père et par la sienne propre qu’il veut se donner à nous de manière si intime. Rien de ce qui est humain ne lui est étranger, et il vient dans notre chair nous nourrir de sa chair. Comment imaginer le Corps du fils de Dieu subir le sort habituel de la nourriture humaine : être mâché, descendre dans l’estomac, puis être assimilé corporellement ?

Jésus nous invite à accueillir la vie éternelle, c’est-à-dire la vie même de Dieu dès cette terre. L’Évangile selon saint Jean regorge de cette volonté de Jésus. C’est par l’Eucharistie tout spécialement qu’il veut nous donner cette vie éternelle. C’est en méditant un texte comme celui-ci que notre soif de l’Eucharistie peut grandir. Cette soif est celle de la vie éternelle, de la vie de Dieu, de cette vie qui est déjà commencée depuis notre baptême et qui va « passer » en nous jusqu’à notre ultime passage, où Dieu, brisant les liens qui nous retiennent encore, pourra enfin, selon sa volonté brûlante, nous étreindre de toutes ses forces et réaliser son « rêve », nous unir pleinement à lui.

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Il en est du règne de Dieu…

Temps de lecture estimé : 2 min 30.

Ceux qui sont allés à la messe ce matin ont pu entendre l’Évangile selon saint Marc :

En ce temps-là, parlant à la foule, Jésus disait : « Il en est du règne de Dieu comme d’un homme qui jette en terre la semence : nuit et jour, qu’il dorme ou qu’il se lève, la semence germe et grandit, il ne sait comment. D’elle-même, la terre produit d’abord l’herbe, puis l’épi, enfin du blé plein l’épi. Et dès que le blé est mûr, il y met la faucille, puisque le temps de la moisson est arrivé. »  (Mc  4, 26-29)

Quelle espérance nous donne cette parole ! Une fois que le Royaume de Dieu a été semé en nous, la graine poursuit sa croissance, quoi que nous fassions. Il n’est pas en notre pouvoir de devenir saint, Dieu seul peut nous purifier.

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Égalité homme – femme dans la Bible : une vision renouvelée

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La description de la création de l’être humain homme et femme, telle que nous la voyons dans les deux premiers chapitres de la Genèse, conditionne largement la vision occidentale sur l’être humain, sur l’identité masculine, l’identité féminine et les rapports entre homme et femme depuis que le christianisme est devenu la religion majoritaire en Occident.

Encore aujourd’hui, il est facile de constater à quel point la vision occidentale diffère radicalement des visions d’autres aires de civilisation comme l’Afrique ou l’Inde.

Il est donc d’une extrême importance d’étudier ces textes de près, pour obtenir une interprétation la plus juste possible de ces textes bibliques, et ainsi renouveler notre regard sur le seul être créé à l’image de Dieu.

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Pour des églises ouvertes !

Temps de lecture estimé : 3 min

Cet article est le fruit de deux chocs personnels récents.

D’abord, dans notre village, il a été décidé, pour raisons de sécurité, de fermer l’église en-dehors de la messe. Cette décision semble légitime au vu des récentes profanations dans le secteur, mais elle m’empêche d’aller prier régulièrement comme j’en avais l’habitude.

Ensuite, lors d’une visite à Digne-les-Bains (Alpes de Haute Provence), j’ai eu la douleur de constater qu’aucune église de cette ville n’était ouverte en-dehors de la messe, y compris la cathédrale. Seule une chapelle peu entretenue est ouverte certains jours à certaines heures. Je ne pouvais pas imaginer qu’en France, on puisse trouver un siège épiscopal où aucune église ne soit ouverte en semaine.

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De jeunes catholiques occidentaux à la rencontre des chrétiens d’Orient

Temps de lecture estimé : 4 min

“C’est à Antioche que, pour la première fois, les disciples reçurent le nom de chrétiens” (11, 26). Ce verset des Actes des Apôtres a inspiré le nom de notre jeune groupe Antiokia, une initiative que nous avons lancée il y a un an, pour favoriser la prière, la rencontre et le partage entre des jeunes chrétiens latins et orientaux.

À Antioche, Saint Pierre fonda la première église en 38, église dont sont issues la plupart des églises orientales aujourd’hui. Antiokia résonne comme un appel à retrouver nos racines au contact de nos frères chrétiens d’Orient. Ce nom en effet est pour nous fort de sens car il porte en lui cette idée d’unité, d’universalité, de « retour aux sources » et d’annonce de l’Évangile, qui forme la base même de notre initiative.

Tout d’abord, Antiokia est le fruit d’une rencontre en Orient : c’est en effet lors de volontariat et de mission humanitaire en Terre Sainte, en Jordanie et au Liban que nous avons été profondément marqués et saisis par la foi des chrétiens locaux et par leur manière de la vivre au quotidien, malgré les difficultés et les injustices.

Animés de la même passion pour cette région et d’un grand amour pour l’Église, nous sommes revenus en France avec un profond désir de partage et d’unité, pour mieux connaître, rencontrer et faire connaître les chrétiens d’Orient. Ainsi, en rencontrant les différentes communautés orientales de Paris-et d’Ile de France, nous redécouvrons les racines de notre foi commune. En effet, nous partageons la même foi, nous avons seulement différentes façons de la vivre, et c’est riche de nos différences que l’on va pouvoir grandir ensemble, unis au Christ.

Ressources concernant l’école à la maison

En France, en Belgique, dans certains cantons de Suisse, au Canada, l’instruction des enfants est obligatoires mais pas leur scolarisation.

Le choix d’instruire son enfant en famille est très exigeant, mais il existe diverses associations d’entraide. Nous présentons sur cette page un certain nombre de liens qui peuvent être utiles aux parents faisant l’école à la maison, ainsi qu’à ceux qui souhaitent découvrir cette possibilité.

Les liens proposés sur cette page concernent surtout la situation en France (deux liens concernent la Belgique). N’hésitez pas à nous proposer d’autres ressources concernant votre pays ou votre région.

 

La loi :

♦ Obligations juridiques des familles pratiquant l’instruction en famille

♦ Circulaire du 14-05-1999 du ministère de l’Éducation Nationale concernant Le contrôle de l’obligation scolaire

♦ Circulaire du 26-12-2011 du ministère de l’Éduction Nationale concernant L’instruction dans la famille

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