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Sainteté 2/2 : les fruits du désir de sainteté

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Cet article est une adaptation d’un enseignement qui a été donné dans le cadre d’un des week-ends pour célibataires chrétiens à Ars, en février 2014. Ces week-ends sont organisés par l’association Homme et femme Il les créa.

Dans les manifestations du temps de la période communiste, dans les années 1980, les polonais brandissaient des pancartes où était écrit : « Nous voulons Dieu ! ». Ils avaient compris quel était leur besoin le plus fondamental : Dieu lui-même, au-dessus de tout bien créé.

A. Vivre en Dieu

1. Une vie transfigurée

Ma décision pour la sainteté, pour Dieu, porte de multiples fruits dans ma vie. Elle va progressivement me rendre plus heureux, je vais entrer dans le bonheur de Dieu, le bonheur en Dieu. Ce processus commence avec le désir de la sainteté. Dieu me donne sa grâce pour que ce désir dure et puisse porter son fruit.

Vivre une vie transfigurée par le Christ

« Je vous dis cela pour que ma joie soit en vous et que votre joie soit complète. » Jean 15, 11

Sainteté 1/2 : accueillir l’authentique sainteté à pleins poumons et oublier ses caricatures

Temps de lecture estimé : 9 min

Cet enseignement a été donné dans le cadre d’un des week-ends pour célibataires chrétiens à Ars, en février 2014. Ces week-ends sont organisés par l’association Homme et femme Il les créa.

I.   Nous sommes déjà tous saints par le baptême

Voici ce que dit la première phrase de l’exhortation Evangelii Gaudium, « programme » du pape François : « La joie de l’Évangile remplit le cœur et toute la vie de ceux qui rencontrent Jésus ».

Dieu me crée par amour. Son but est de me faire devenir comme lui. Il veut que je devienne saint comme lui-même est saint.

La joie de Dieu est pour moi. En rencontrant Jésus, je trouve la vraie joie, la joie d’être ce pour quoi j’ai été créé. Cette joie, c’est d’être uni à Dieu, être bienheureux de sa béatitude, être saint de sa sainteté.

Éducation : prérogative de la famille ou de l’État ?

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Le Sénat français est en train d’étudier une proposition de loi visant à supprimer l’école à la maison, sauf dans le cas où un médecin agréé déciderait que l’enfant ne peut pas aller à l’école traditionnelle.

Cette proposition est, sans en avoir l’air, un profond changement dans la conception même de l’éducation dans notre société.

Les écrans, canaux ou écrans entre Dieu et nous ?

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Les écrans qui envahissent nos vies devraient normalement susciter chez nous une saine réflexion. Si nous devons quitter une certaine naïveté, en acceptant de regarder en face les risques, nous devons aussi porter un regard positif sur ces réalités qui subissent des changements continuels.

Une main réelle et une main virtuelle sont sur le point de se toucher

Pour alimenter notre réflexion, voici quelques éléments qui me semblent importants.

Qu’est-ce que la vérité ? Mon doute ou ma foi ?

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Le doute, spécialement sur les croyances philosophiques et religieuses, est souvent vu comme l’attitude intellectuelle juste depuis le siècle des Lumières. Les « maîtres du soupçon » (Marx, Nietzsche, Freud) ont renforcé cette conviction.

Marx, Nietzsche, Freud

Le doute est présenté comme une attitude adulte, face à l’attitude infantile consistant à croire sans se poser trop de questions, qui mène immanquablement à l’illusion.

L’attitude sceptique est-elle si féconde qu’elle se prétend être ? Il y a deux manières de l’appréhender.

Noël : serons-nous présents à celui qui est Présence?

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Noël nous interroge sur notre présence à Dieu. En effet, Noël est la grande fête de la venue de Dieu dans notre monde, et donc de la Présence définitive de Dieu, non seulement de manière spirituelle, mais aussi sous forme corporelle. Jésus vient avec un corps d’homme, un corps de chair. C’est ce que l’on appelle l’Incarnation. Cette personne humaine, Jésus, vient vers moi, autre personne humain, pour me rencontrer et cheminer avec moi, même si je ne le vois pas matériellement, comme le voyaient ses contemporains.

Mais moi, lui suis-je présent ? Il a pris la peine de venir en ce monde et de se faire homme pour moi. Célébrer Noël, c’est rendre gloire à Dieu pour sa présence chaque jour de notre vie, ici sur cette terre, dans nos cœurs et dans toutes sortes de réalités : nos frères baptisés, les pauvres et les petits, nos prêtres, les sacrements, l’Eucharistie… et bien sûr dans notre prière.

François et Benoît : la foi chrétienne est-elle un self-service ?

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Aujourd’hui se termine l’Année de la foi voulue par le pape Benoît XVI, pour relancer notre élan vers Dieu et notre amour pour ce qu’il nous révèle, ce qu’il nous donne à croire, « redécouvrir les contenus de la foi, professée, célébrée, vécue et priée ». À cette occasion, le pape François a terminé l’encyclique Lumen Fidei commencée par le pape Benoît XVI. Voici le passage qui nous intéresse plus spéciquement, dans le paragraphe 48 :

« C’est bien parce que tous les articles de foi sont reliés entre eux et ne font qu’un, qu’en nier un seul, même celui qui semblerait de moindre importance, revient à porter atteinte à tout l’ensemble. […] Les Pères (ndlr : les grands théologiens des premiers temps de l’Église) ont décrit la foi comme un corps, le corps de la vérité, avec plusieurs membres, par analogie avec le Corps du Christ et son prolongement dans l’Église. […] L’unité de la foi est donc celle d’un organisme vivant. »

La foi chrétienne est le don de la sagesse de Dieu, pour que l’homme vive de sa vie, en plénitude. C’est un ensemble qui possède une cohésion interne totale. Il est bon de réfléchir sur les conséquences pour nous de cette donnée fondamentale de notre foi.

Le pape François et le pape Benoît XVI sont les deux auteurs de l'encyclique Lumen Fidei

« Qu’ils soient un » : espérer avec nos frères orthodoxes

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Le Seigneur a dit, parlant de nous ses disciples : « Qu’ils soient un, afin que le monde croie » (Év. Jean 17,21).

Au cours du premier millénaire, la communion s’était globalement maintenue entre les chrétiens, à part quelques schismes mineurs.

Depuis 1054, l’unique Église du Christ, notre Église, subit un drame qui est celui de la division fondamentale entre l’Occident et l’Orient. C’est le schisme avec ceux qui se désignent eux-mêmes comme « orthodoxes ».

Le métropolite Hilarion et le cardinal Kurt Koch

Miette d’histoire : comment faire tomber le mur de Berlin sans le savoir

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Ce 9 novembre 1989, en se réveillant, Günter Schabowski était sûrement bien loin de penser que, par sa négligence, il allait être la cause directe de l’événement considéré par beaucoup comme la fin du XXe siècle.

Günter Schabowski le 9 novembre 1989

Membre du Bureau politique d’Allemagne de l’Est (le Politburo, une sorte de gouvernement), il est chargé de superviser une conférence de presse, débutant à 18h, qu’il conclut en disant que le gouvernement a pris des mesures pour faciliter les voyages des citoyens hors du pays. Dans l’extrême confusion de cette période, il ne sait pas que ces sorties du territoires ne pourront se faire qu’avec un visa.

Jean-Paul II : 35 ans après son élection, nous prions avec lui pour le monde.

35 ans après son élection au Siège de saint Pierre, nous prions notre bienheureux et grand pape Jean-Paul II pour que, par sa prière, l’Église et le monde soient inondés de grâces et de lumière. Nous prions avec la foi qui était la sienne, une fois à déplacer les montagnes du mal, du mensonge, de la résignation, du conformisme et de l’inertie. Amen.

Jean-Paul II en Lituanie

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