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Auteur/autrice : Filippo-modérateur Page 5 sur 8

La chambre du Sénat

Éducation : prérogative de la famille ou de l’État ?

Temps de lecture estimé : 2 min 30

Le Sénat français est en train d’étudier une proposition de loi visant à supprimer l’école à la maison, sauf dans le cas où un médecin agréé déciderait que l’enfant ne peut pas aller à l’école traditionnelle.

Cette proposition est, sans en avoir l’air, un profond changement dans la conception même de l’éducation dans notre société.

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Les écrans, canaux ou écrans entre Dieu et nous ?

Temps de lecture estimé : 3 min

Les écrans qui envahissent nos vies devraient normalement susciter chez nous une saine réflexion. Si nous devons quitter une certaine naïveté, en acceptant de regarder en face les risques, nous devons aussi porter un regard positif sur ces réalités qui subissent des changements continuels.

Pour alimenter notre réflexion, voici quelques éléments qui me semblent importants.

Marx, Nietzsche, Freud

Qu’est-ce que la vérité ? Mon doute ou ma foi ?

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Le doute, spécialement sur les croyances philosophiques et religieuses, est souvent vu comme l’attitude intellectuelle juste depuis le siècle des Lumières. Les « maîtres du soupçon » (Marx, Nietzsche, Freud) ont renforcé cette conviction.

Le doute est présenté comme une attitude adulte, face à l’attitude infantile consistant à croire sans se poser trop de questions, qui mène immanquablement à l’illusion.

L’attitude sceptique est-elle si féconde qu’elle se prétend être ? Il y a deux manières de l’appréhender.

La Parousie, venue définitive de Dieu en notre monde

Noël : serons-nous présents à celui qui est Présence?

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Noël nous interroge sur notre présence à Dieu. En effet, Noël est la grande fête de la venue de Dieu dans notre monde, et donc de la Présence définitive de Dieu, non seulement de manière spirituelle, mais aussi sous forme corporelle. Jésus vient avec un corps d’homme, un corps de chair. C’est ce que l’on appelle l’Incarnation. Cette personne humaine, Jésus, vient vers moi, autre personne humain, pour me rencontrer et cheminer avec moi, même si je ne le vois pas matériellement, comme le voyaient ses contemporains.

Mais moi, lui suis-je présent ? Il a pris la peine de venir en ce monde et de se faire homme pour moi. Célébrer Noël, c’est rendre gloire à Dieu pour sa présence chaque jour de notre vie, ici sur cette terre, dans nos cœurs et dans toutes sortes de réalités : nos frères baptisés, les pauvres et les petits, nos prêtres, les sacrements, l’Eucharistie… et bien sûr dans notre prière.

Une encyclique pour deux papes

François et Benoît : la foi chrétienne est-elle un self-service ?

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Aujourd’hui se termine l’Année de la foi voulue par le pape Benoît XVI, pour relancer notre élan vers Dieu et notre amour pour ce qu’il nous révèle, ce qu’il nous donne à croire, « redécouvrir les contenus de la foi, professée, célébrée, vécue et priée ». À cette occasion, le pape François a terminé l’encyclique Lumen Fidei commencée par le pape Benoît XVI. Voici le passage qui nous intéresse plus spéciquement, dans le paragraphe 48 :

« C’est bien parce que tous les articles de foi sont reliés entre eux et ne font qu’un, qu’en nier un seul, même celui qui semblerait de moindre importance, revient à porter atteinte à tout l’ensemble. […] Les Pères (ndlr : les grands théologiens des premiers temps de l’Église) ont décrit la foi comme un corps, le corps de la vérité, avec plusieurs membres, par analogie avec le Corps du Christ et son prolongement dans l’Église. […] L’unité de la foi est donc celle d’un organisme vivant. »

La foi chrétienne est le don de la sagesse de Dieu, pour que l’homme vive de sa vie, en plénitude. C’est un ensemble qui possède une cohésion interne totale. Il est bon de réfléchir sur les conséquences pour nous de cette donnée fondamentale de notre foi.

Le métropolite Hilarion et le cardinal Kurt Koch

« Qu’ils soient un » : espérer avec nos frères orthodoxes

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Le Seigneur a dit, parlant de nous ses disciples : « Qu’ils soient un, afin que le monde croie » (Év. Jean 17,21).

Au cours du premier millénaire, la communion s’était globalement maintenue entre les chrétiens, à part quelques schismes mineurs.

Depuis 1054, l’unique Église du Christ, notre Église, subit un drame qui est celui de la division fondamentale entre l’Occident et l’Orient. C’est le schisme avec ceux qui se désignent eux-mêmes comme « orthodoxes ».

Günter Schabowski le 9 novembre 1989

Miette d’histoire : comment faire tomber le mur de Berlin sans le savoir

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Ce 9 novembre 1989, en se réveillant, Günter Schabowski était sûrement bien loin de penser que, par sa négligence, il allait être la cause directe de l’événement considéré par beaucoup comme la fin du XXe siècle.

Membre du Bureau politique d’Allemagne de l’Est (le Politburo, une sorte de gouvernement), il est chargé de superviser une conférence de presse, débutant à 18h, qu’il conclut en disant que le gouvernement a pris des mesures pour faciliter les voyages des citoyens hors du pays. Dans l’extrême confusion de cette période, il ne sait pas que ces sorties du territoires ne pourront se faire qu’avec un visa.

Jean-Paul II en Lituanie

Jean-Paul II : 35 ans après son élection, nous prions avec lui pour le monde.

35 ans après son élection au Siège de saint Pierre, nous prions notre bienheureux et grand pape Jean-Paul II pour que, par sa prière, l’Eglise et le monde soient inondés de grâces et de lumière. Nous prions avec la foi qui était la sienne, une fois à déplacer les montagnes du mal, du mensonge, de la résignation, du conformisme et de l’inertie. Amen.

Robespierre et l'artisan de sa chute, Tallien

Miette d’histoire : comment l’amour fit cesser la Terreur

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Paris, été 1794. La Terreur a atteint son sommet. Chaque jour, la charrette emmène son lourd chargement humain à la guillotine. À la Convention, Robespierre et son clan règnent sans partage, supprimant méthodiquement leurs opposants réels ou imaginaires. Les autres députés crèvent de peur : seront-ils les prochains à monter à l’échafaud ? Le 24 juillet, Robespierre montre une liste en disant : « Des têtes vont tomber… »

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Mgr Lustiger : évêque réformateur au service de Dieu et des hommes

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Le 19 septembre 2013, la Mairie de Paris a décidé d’honorer la mémoire de Mgr Jean-Marie Lustiger, archevêque de Paris pendant 24 ans, en donnant son nom au Petit Pont, le pont qui enjambe la Seine à la jonction de la Préfecture de police et du parvis de Notre-Dame – place Jean-Paul II.

Il n’est que justice d’honorer ainsi un évêque hors normes, que l’on peut faire figurer aux côtés d’autres évêques d’exception comme saint Charles Borromée (1538-1584), archevêque de Milan, le bienheureux Alain de Solminihac (1593-1659), évêque de Cahors, ou saint Eugène de Mazenod (1782-1851), archevêque de Marseille.

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