Ma question, bien des individus se permettent bien des libertés à se livrer sexuellement à toutes formes d’expériences sexuelles, pratiquent l’échangisme, se donnent à la masturbation solitaire et en couple, des individus étant marié, ayant des enfants, se disant sérieux, responsables, mature, faute de correspondre aux dites normalité, la norme, que dans la société, l’on dit être ordinaires, alors que d’autres, faute de ne pas correspondre à ces dites normes, car différents, handi par exemple, faute par cela de discrimination, de mépris, rejet, aussi de vouloir comme désexualiser en fait, ses personnes, sont comme privées interdites à ces mêmes droits, ces mêmes droit au plaisir.
Aussi, qui en décide ou devrait en décider de ce droit sexuel que d’avoir du plaisir, de vouloir même partager, d’en vivre ? Où l’égalité des chances, des droits, à qui cela est il le plus permis d’avoir, d’obtenir de droit ?
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Cat-modératrice
Bonjour,
Je ne suis pas sûre de comprendre votre question. Je comprends que vous exprimer la souffrance des personnes marginalisées et handicapées. Si je comprends bien, vous exprimez combien il est difficile à supporter pour ces personnes de ne pas être regardées comme des personnes avec qui il est imaginable de vivre une histoire d’amour. Bien sûr, cette souffrance est terrible. Vous parlez d’égalité des chances, et c’est une souffrance pour beaucoup de personnes qu’il n’y ait jamais eu d’égalité des chances en amour. Certains plaisent beaucoup et de nombreux autres restent célibataires toute leur vie. La souffrance du célibat non voulu est très grande.
Mais je ne suis pas sûre de ce que voulez dire ensuite. Est-ce que vous voulez dire qu’il est injuste de ne pas permettre aux personnes handicapées célibataires de se masturber parce qu’elles n’ont pas accès au plaisir autrement ?