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Mots-clés blog : prière

Les trois appels : servir annoncer adorer

Temps de lecture estimé : 4 min

Un trou dans un arbre abrite une colonie de papillons.
Un premier papillon sort du trou et s’approche d’un grand feu. Il en est tout réchauffé et, dans sa joie, il revient dans le trou pour diffuser la chaleur reçue auprès des autres papillons.
Un autre papillon sort du trou et s’approche lui aussi du feu. Il est réchauffé et se dit que les autres papillons devraient sortir pour s’approcher du feu et être eux aussi réchauffés. Il va leur annoncer cette bonne nouvelle qu’ils peuvent sortir pour s’approcher du feu.
Un troisième papillon sort du trou. Il est tellement saisi par la beauté et la chaleur du feu qu’il y entre pour n’en plus ressortir. Comme c’est un feu bienfaisant, le papillon brûle sans se consumer, lui-même devient flamme ardente.

Le repos en Dieu : inaccessible ? Égoïste ?

Temps de lecture estimé : 3 min 30

Femme en prière

Avec l’autorisation des responsables, nous reproduisons ici un extrait du bulletin Oraison 
n°166 :

Faire oraison, c’est reposer en Dieu, s’abandonner à sa volonté. Ce repos n’est-il pas impossible, ou bien ne serait-il pas très égoïste lorsque nous voyons l’angoisse et le stress de nos contemporains victimes de l’athéisme et de l’absurdité de certaines idéologies ?

Le seul remède à l’angoisse et au stress est la confiance et le calme : courez derrière un animal apeuré, il courra de plus en plus vite ; arrêtez-vous et il s’arrêtera. Dans un monde apeuré, le service à rendre est de s’arrêter. Alors la peur disparaît, et avec elle le malheur. Car à y bien réfléchir, il n’y a pas d’autre malheur que d’avoir peur, et il n’y a pas d’autre peur qu’imaginaire.

À pape nouveau, cœurs nouveaux !

Temps de lecture estimé : 3 min 30

Dans l’Évangile selon saint Matthieu, chapitre 9, verset 17, Jésus dit « À vin nouveau, outres neuves. » La meilleure manière d’accueillir et d’honorer notre nouveau pape est encore et toujours de nous convertir, c’est-à-dire de supplier le Seigneur de renouveler nos cœurs.

Ce pape, nous en voyons quelques images et quelques paroles, mais au fond qui le connaît ?

Comme avec Jean-Paul II, nous sentons une nouvelle étape. Jean-Paul II était inconnu, alors que tout le monde connaissait Benoît XVI lors de son élection. Benoît XVI lui-mêmes’est placé dans la continuité de son prédécesseur. Tous deux ont connu la guerre et le totalitarisme. Tous deux sont des intellectuels extrêmement puissants, ayant écrit des livres en quantité.

Comment nous préparer à accueillir le nouveau pape

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Benoît XVI prie la vierge Marie

À l’approche du Conclave, les spéculations les plus variées circulent sur celui qui sera le successeur de Benoît. L’absurde opposition entre candidats « modernistes » et « conservateurs » fait les choux gras des journalistes. Toutes sortes de critères sont inventés ou ressortis de la naphtaline.

Nous avons la chance de savoir que le successeur de Pierre est choisi par le Saint-Esprit, c’est-à-dire par Dieu. Dieu dit : « Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, […] autant mes pensées sont au-dessus de vos pensées. » Isaïe 55, 9

Carême : « C’est un mauvais moment à passer, les privations sont trop éprouvantes »

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Chocolat, photo André Karwath aka Aka

Un religieux disait que si un frère veillait toute la nuit en prière, et que le lendemain il était irritable, manquant de charité envers les autres frères à cause de sa fatigue, cela prouvait qu’il avait eu tort de faire cette veille, que cette idée ne venait pas de Dieu.

L’Église nous invite effectivement à profiter du carême pour faire des efforts dans trois domaines : la prière, le jeûne et le partage.

La prière est le point le plus important, et si on ne prie pas, il est inutile de jeûner, cela peut difficilement porter du fruit. Le jeûne est une démarche d’adoration où l’on veut signifier à Dieu que Lui seul nous est indispensable. Benoît XVI a dit aux pèlerins francophones, le 17 février dernier : « Par le jeûne nous apprendrons à ne pas négliger la véritable nourriture, spirituelle, pour résister aux tentations de l’indifférence et du laisser-aller, de l’égoïsme et de l’orgueil, de l’argent et du pouvoir. »

Recherche ministres de l’intérieur désespérément

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Depuis plusieurs siècles, en Occident, l’intérêt pour la vie intérieure recule, au profit de la vie extérieure.

Cette vie extérieure, tout le monde la connaît. C’est même la seule vie connue de l’immense majorité des Occidentaux, surtout en Europe.
Cette vie est de plus en plus dépendante des prothèses technologiques toujours plus perfectionnées que l’homme met au point à un rythme accéléré. L’homme moderne est ballotté entre les innovations, les modes et les idées toujours changeantes. Cette vie est souvent frénétique, prise entre toutes sortes de nécessités extérieures.

UEDLP – Un Enfant Dans La Prière

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Prier pour des enfants maltraités et des adultes maltraitants, de toutes confessions.

Au cours de la messe de minuit 2008, le pape Benoît XVI a dénoncé la souffrance des enfants maltraités : « L’Enfant de Bethléem est un nouvel appel qui nous est adressé pour faire tout ce qui est possible afin que soit mis un terme aux épreuves de ces enfants », pour « faire tout ce qui est possible afin que la lumière de Bethléem touche le cœur des hommes [ … ]  Ce n’est qu’à travers la conversion des cœurs, ce n’est qu’à travers un changement au plus intime de l’homme que peut être dépassée la cause de tout ce mal…».

Il y a bientôt 13 ans dans le diocèse de Beauvais (Oise), le 15 février 2000, jour de saint Claude La Colombière – saint protecteur de l’action – a été créé, sous l’impulsion de Mona LE CUNFF et de l’Abbé Bruno DANIEL, « UEDLP – Un Enfant Dans La Prière ».  Le but de cette œuvre est de prier pour des enfants maltraités et des adultes maltraitants, de toutes confessions.

La fin du monde ou la fin d’un monde ?

Temps de lecture estimé : 6 mn

En cette fin du mois de novembre, l’Église médite sur les « fins dernières », ce moment où le Créateur du temps arrêtera le temps pour nous inviter à entrer dans son éternité et sa béatitude. Nous vous proposons un commentaire de l’évangile de dimanche dernier.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 13,24-32.

« Jésus parlait à ses disciples de sa venue : « En ces temps-là, après une terrible détresse, le soleil s’obscurcira et la lune perdra son éclat. Les étoiles tomberont du ciel, et les puissances célestes seront ébranlées.

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