Site pour mieux connaître Dieu et l'Église catholique

Mots-clés blog : France

Migrants : n’acceptons pas tout mais ne fermons pas notre cœur

Temps de lecture estimé : 5 min 30

Beaucoup de Français ressentent de la révolte face au phénomène actuel d’immigration massive : révolte que tant de morts soient causées par des terroristes d’origine étrangère déjà connus de la police, révolte de certaines personnes s’occupant de sans-abri français et qui voient les besoins de ceux-ci délaissés au profit de migrants, révolte de voir des femmes de plus en plus nombreuses objet de mépris voire de violence, sur notre territoire, révolte de s’entendre accuser de racisme et d’égoïsme parce qu’ils disent « stop » à l’immigration.

D’autre Français sont révoltés par les souffrances de toutes ces personnes qui fuient la guerre ou la misère, qui en France sont mal accueillies par certains, victimes de racisme, que beaucoup veulent refouler, que l’on accuse de tous les maux de la France.

Réfugiés irakiens à Damas

Pour ma part, je ne prétends pas être mieux informée que d’autres sur les causes des migrations, les intentions des migrants, la façon dont ils sont traités en Europe et leurs propres actions. Je souhaite juste faire quelques remarques.

Enregistrement audio exceptionnel : homélie de Jean-Paul II au Bourget en 1980

En 1980, l’Église de France est à bout de souffle. Après quinze ans de polémiques incessantes sur l’interprétation et l’application du Concile Vatican II, après une saignée inédite qui a vu un tiers des prêtres français quitter le ministère, Jean-Paul II, le pape polonais élu deux ans plus tôt vient pour la première fois en France. L’ambiance est morose, voire sinistre.

Personne ne s’attend à une homélie qui va marquer l’histoire, et dont les paroles résonnent encore à nos oreilles, nous français, 35 ans après avoir été prononcées.

L’enregistrement dure 34 minutes. Il manque quelques phrases initiales.

30 mai : nous fêtons sainte Jeanne d’Arc

Temps de lecture estimé : 2 min

En ce jour, il nous est donné de célébrer la fête liturgique de sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France1. Comme rappelé dans l’article « France, fille aînée de l’Église », Jeanne d’Arc constitue un cas unique dans l’histoire de France, puisqu’elle est à la fois une sainte canonisée par l’Église, et une héroïne nationale célébrée par la République. De plus, elle est l’un des personnages historiques les plus connus du monde. De multiples œuvres artistiques lui ont été et lui sont encore consacrées, tant dans la peinture, la littérature, le théâtre, la poésie ou le cinéma.

Sainte Jeanne d'Arc

France, fille aînée de l’Église

Temps de lecture estimé : 6 min

Le 1er juin 1980, dans son homélie du Bourget, le pape Jean-Paul II a utilisé ce titre qui semblait oublié depuis bien longtemps : « La France : la Fille aînée de l’Église ! Aujourd’hui, dans la capitale de l’histoire de votre nation, je voudrais répéter ces paroles qui constituent votre titre de fierté : Fille aînée de l’Église. » Ce titre fut d’abord appliqué au roi de France, désigné comme fils aîné de l’Église, puis par extension à la France elle-même.

Site sous WordPress & Thème par Anders Norén