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Les Petits Ostensoirs, pour la promotion de la confession des enfants

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« S’il te plait maman, emmène-moi me confesser ! »

Avez vous déjà entendu cette phrase ? Probablement pas plus qu’on n’a déjà vu un jeune garçon blond demander au beau milieu du désert à un aviateur en rade de lui dessiner un mouton. Pourtant cela pourrait être le début d’une très belle histoire, un cadeau merveilleux à transmettre qui conduit à la rencontre de Jésus et nous transforme en petits ostensoirs, en porte-Christ envoyés dans le monde pour rayonner.

Un enfant tient un chapelet

Mais là c’est juste le début de l’histoire et je vous invite à découvrir le site et/ou le livre et/ou la petite méthode de mon amie Ingrid d’Ussel, mère de famille engagée, soutenue par une équipe de prêtres catholiques, qui propose une approche renouvelée et affûtée de la confession fréquente à usage familial (posologie adaptée selon les tranches d’âges).

Louis et Zélie Martin, mariés et pourtant saints !

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Ce titre se veut volontairement provocant. Il serait absurde de croire que l’Église a jamais refusé la canonisation de personnes mariées. Mais nous allons voir comment cette canonisation est une preuve supplémentaire de la sagesse de Dieu, qui donne à ses enfants ce dont ils ont besoin en temps voulu.

Saints Louis et Zélie Martin ont été canonisés en ce mois d’octobre 2015. En quoi cela nous concerne-t-il, nous baptisés du XXIe siècle ?

Leur canonisation est, entre autre, un fort encouragement, pour nous laïcs, à croire que Dieu veut notre sainteté. Il veut pour nous une sainteté qui n’a ni moins de valeur, ni moins de beauté, ni moins d’exemplarité que celle des consacrés, clercs, rois et reines, et martyrs.

Le tombeau de Louis et Zélie Martin

Saint Thomas d’Aquin, les reliques cachées

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Saint Thomas d'Aquin tenant la Bible
Mi-août, j’ai eu l’occasion de visiter Toulouse. J’ai donc admiré la superbe église des Jacobins (autre nom des Dominicains) une des attractions majeures du centre-ville. Les touristes allaient et venaient comme dans un couvent désaffecté, glorieux témoin d’un passé révolu, comme par exemple l’abbaye de Fontenay en Bourgogne.
 
Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir près d’une chapelle latérale un autel sous lequel se trouvent les reliques de saint Thomas d’Aquin, un des piliers centraux de la théologie de l’Église, célébré par le pape Pie XI comme le « docteur commun ou universel1 » de l’Église catholique !

Les divorcés remariés n’ont jamais été excommuniés !

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Un prêtre donne la communion

Une fois de plus, un article de presse laisse entendre que l’Église catholique excommunie les divorcés remariés.

Dans cet article du Figaro : Le pape François allège la procédure de nullité des mariages catholiques, Jean-Marie Guénois explique avec clarté en quoi l’expression d’« annulation de mariage » est impropre. L’Église n’annule jamais un mariage valide. Elle n’en a pas le pouvoir, car Jésus a été on ne peut plus clair sur le sujet1. Ce que l’Église permet, c’est de constater la nullité d’un mariage n’ayant jamais été valide.

Mais plus loin dans l’article, l’auteur, qui connaît pourtant bien l’Église, écrit deux fois que le pape François cherche des solutions pour permettre aux divorcés remariés de revenir dans la communion de l’Église. Être exclu de la communion de l’Église, cela veut dire être excommunié. La rumeur de l’excommunication des divorcés remariés a la vie dure… Pourtant, rien n’est plus faux. L’Église catholique n’a jamais excommunié les divorcés remariés.

Avortement, Fraternité Saint Pie X : la miséricorde n’exclut personne

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Une fois de plus, le pape François réussit à attirer l’attention de tous les media !

Mardi dernier 1er septembre, notre pape a publié une lettre annonçant l’indulgence accordée à tous ceux qui feront certaines démarches, à l’occasion de l’année de la miséricorde qui sera ouverte le 8 décembre prochain.

L’indulgence consiste en la délivrance des conséquences du péché. Le sacrement de la confession permet d’être libéré de la culpabilité, de recevoir le pardon de Dieu, mais nous restons enchaînés par les conséquences de nos actes.

Pour des églises ouvertes !

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Porte d'église ouverte

Cet article est le fruit de deux chocs personnels récents.

D’abord, dans notre village, il a été décidé, pour raisons de sécurité, de fermer l’église en-dehors de la messe. Cette décision semble légitime au vu des récentes profanations dans le secteur, mais elle m’empêche d’aller prier régulièrement comme j’en avais l’habitude.

Ensuite, lors d’une visite à Digne-les-Bains (Alpes de Haute Provence), j’ai eu la douleur de constater qu’aucune église de cette ville n’était ouverte en-dehors de la messe, y compris la cathédrale. Seule une chapelle peu entretenue est ouverte certains jours à certaines heures. Je ne pouvais pas imaginer qu’en France, on puisse trouver un siège épiscopal où aucune église ne soit ouverte en semaine.

De jeunes catholiques occidentaux à la rencontre des chrétiens d’Orient

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“C’est à Antioche que, pour la première fois, les disciples reçurent le nom de chrétiens” (11, 26). Ce verset des Actes des Apôtres a inspiré le nom de notre jeune groupe Antiokia, une initiative que nous avons lancée il y a un an, pour favoriser la prière, la rencontre et le partage entre des jeunes chrétiens latins et orientaux.

Jeunes catholiques à la rencontre des chrétiens d'orient

À Antioche, Saint Pierre fonda la première église en 38, église dont sont issues la plupart des églises orientales aujourd’hui. Antiokia résonne comme un appel à retrouver nos racines au contact de nos frères chrétiens d’Orient. Ce nom en effet est pour nous fort de sens car il porte en lui cette idée d’unité, d’universalité, de « retour aux sources » et d’annonce de l’Évangile, qui forme la base même de notre initiative.

Tout d’abord, Antiokia est le fruit d’une rencontre en Orient : c’est en effet lors de volontariat et de mission humanitaire en Terre Sainte, en Jordanie et au Liban que nous avons été profondément marqués et saisis par la foi des chrétiens locaux et par leur manière de la vivre au quotidien, malgré les difficultés et les injustices.

Animés de la même passion pour cette région et d’un grand amour pour l’Église, nous sommes revenus en France avec un profond désir de partage et d’unité, pour mieux connaître, rencontrer et faire connaître les chrétiens d’Orient. Ainsi, en rencontrant les différentes communautés orientales de Paris-et d’Ile de France, nous redécouvrons les racines de notre foi commune. En effet, nous partageons la même foi, nous avons seulement différentes façons de la vivre, et c’est riche de nos différences que l’on va pouvoir grandir ensemble, unis au Christ.

Un pèlerinage méconnu : les Grottes de saint Antoine

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Il y a une grotte, il y a eu une apparition mariale et il y a une source miraculeuse, mais ce n’est pas Lourdes… À Brive-la-Gaillarde (Massif Central) se trouve un « petit » sanctuaire niché dans un bois dominant la ville. Ici, en l’an 1226, saint Antoine (appelé habituellement « de Padoue », mais il est né à Lisbonne) est venu prêcher la Bonne Nouvelle comme il l’a fait dans de nombreuses villes et villages du quart sud-ouest de la France.

Une tentative de reconstruction du visage de saint Antoine

En pleine hérésie cathare, sa simplicité, sa douceur, son humilité et la puissance de sa prédication font merveille, des milliers de personnes passées au catharisme reviennent à la foi catholique. Sur son chemin, Antoine fonde de nombreux couvents franciscains, dont celui de Brive, en plein centre ville.

Sacrement de la Confirmation : vers un retour aux sources ?

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À la Pentecôte 2014, Mgr Minnerath, archevêque de Dijon, a dévoilé un ambitieux projet concernant la pratique de la confirmation en France, en proposant d’abaisser l’âge de sa réception.

Confirmation à Notre-Dame de Paris

Depuis de nombreuses années, pratiquement tous les diocèses de France pratiquent la confirmation à l’adolescence, pour les enfants qui ont été baptisés auparavant. Or, cette pratique est une disposition mise en place par la seule Conférence des évêques de France, et le texte officiel, sanctionnant une pratique bien antérieure, ne date que de 1986 (Bulletin officiel de la Conférence des évêques n. 30, 28 janvier 1986, p. 450).

Mgr Minnerath fait d’abord un constat d’échec pastoral de cette pratique : seuls 5% des enfant baptisés reçoivent la confirmation. Mais ce constat est suivi d’une réflexion de fond bien plus importante : est-il juste de conférer la confirmation après la première communion ?

Peut-il y avoir une fraternité entre chrétiens et musulmans ?

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Toutes les fois où je mentionne, dans notre revue de presse de bonnes nouvelles, des actes de paix et d’entraide posés par des musulmans envers des chrétiens, certains de mes contacts des réseaux sociaux me quittent ou se scandalisent, en me rappelant tous les crimes commis dans le monde par des musulmans envers des chrétiens. Aux yeux de certains catholiques, toute entente entre musulmans et chrétiens est satanique.

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